† once upon a time
Il n'a jamais connu sa mère, et a donc toujours vécu avec son père qui était dans les forces de l'ordre. Ça fait de lui quelqu'un d'assez brutal, qui n'a jamais eu d'amour maternel. (+) Il a longtemps cru être hétéro, mais un jour s'est laissé collé dans une boite et a trouvé ça plutôt agréable. Il s'est réveillé le lendemain avec un beau garçon à ses cotés... Et ça lui a plu. (+) Assume désormais totalement son coté homosexuel, mais n'en abandonne pas les femmes pour autant. (+) Travaille au FBI depuis deux ans maintenant, et s'y plaît beaucoup. Se sent un peu comme un agent-secret... (+) Ne quitte jamais son pistolet de poche, qu'il cache dans la poche noire de sa veste. (+) Porte quasiment toujours un costume  (+) Ne pars jamais au boulot sans son café noir avec un sucre du matin. (+) Fait tomber les mouches d'un petit sourire. (+) Est un grand fan de séries policières, s'en inspire parfois... Oui, se la pète aussi un peu. (+) Craque totalement pour son voisin de pallier, et c'est ô combien réciproque. (+) A mit une de ses conquêtes enceinte, et doit en assumer les conséquences. (+) Mordille ses doigts lorsqu'il est stressé. (+) Est excellent tireur (de balles hein... Après, dans l'autre sens du terme aussi...) (+) S'est installé dans la ville dans le but de traquer l'une de ces cibles. (+) A adopté un petit chaton juste pour faire plaisir à son voisin.

   Que pensez-vous de l'amour ? Jusqu'où seriez-vous prêt à aller ? L'amour ? C'est le genre de chose qui sort de la bouche de toutes les nanas. Elles veulent tomber amoureuses, se marier, avoir des enfants... En fait ce sont toutes les mêmes, toutes des pisseuses sans autres ambitions... Comment faire face à la misogynie si toutes veulent la même chose ? Évidement il y a des exceptions... Enfin, moi l'amour, je n'y connais pas grand chose. Je suis tombé amoureux une fois, à l'adolescence, mais c'était loin d'être un conte de fée. Je préfère les histoires sans lendemain, pas besoin de s'attacher ou de dire des mots d'amour... Je me suis habitué à ce mode de vie. Que vous évoque votre première histoire d'amour ? Du dégoût et beaucoup de pitié ! *rire*. C'était avec la pompom girl du lycée, une vraie allumeuse que tous les mecs voulaient se taper. Et c'est moi qui l'a eu... Il faut dire que le post de capitaine de l'équipe de football, ça aide pour draguer ! Comment imaginez-vous votre avenir amoureux ? Parfois, il m'arrive de rêver que je suis amoureux. C'est rare, mais ça arrive. C'est toujours flou. Je suis dans mon lit, les yeux fermés, respirant doucement avec un sourire sur les lèvres. Je sens un souffle contre mon torse, et je tiens quelqu'un dans mes bras. Lorsque j'ouvre les yeux, je vois mon petit voisin endormi... Arrêtez de vous moquer ! ... Si vous devriez choisir entre l'amour et l'argent que feriez-vous ? L'argent ! ...Non ? Oh je ne sais pas... Elles sont chiantes vos questions, je ne devrais jamais choisir entre ça et ça de toute façon !

   † happily ever after
   c'est ici que vous écrirez l'histoire de votre personnage. procédez comme vous le souhaitez: sous forme de journal intime, d'anecdotes... nous demandons 500 mots, ce qui n'est pas vraiment long vu la largueur du forum et du cadre. si vous souhaitez, postez cette partie dans un autre sujet, ce sera probablement plus simple. si vous avez des soucis lors de l'écriture de votre fiche, n'hésitez pas à faire appel à un administrateur.

   pseudo/prénom ? Mahouuu. . âge : 15 y-o. pays : I'm a french people. tu es ? Un inventé très inspiré de Neal Caffrey dans White Collar. comment as tu découvert le forum ? Il m'est tombé sur la tête. t'en penses quoi ? Que-du-bien ! fréquence de connexion ? Presque tous les jours, quasiment. quelque chose à rajouter ? Noooop

   

Code:

<taken>matt bomer</taken> <pseudo>✝ Phoenix Adamson.</pseudo>

   

« Phoenix, viens voir ça. » Je m'approchais de mon collègue, prenant place sur le siège à coté de lui, une tasse de café noir en main que je dégustait avec raffinement. Je vis qu'il levais les yeux au ciel mais ne relevais pas ce détail. « Qu'est-ce qu'il y a, Jo' ? » demandais-je, fixant son écran d'ordinateur. Mon interlocuteur grimaça un peu, désignant ce fameux écran. « Il a déménagé. » Je fronçais les sourcils. « Qui ça ''il'' ? » Il soupira, je pris une autre gorgée de café. « Blackwood, il habite à Gold Coast, en Australie maintenant. » Je clignais des yeux, puis les écarquillais, reposant mon café pour me rapprocher de l'écran, fixant sa nouvelle adresse. « C'est pas vrai ?! Oh putain. » Jo' fit la grimace, saisissant la boite à gros-mots qu'il me tendit, je glissais un dollar dedans en râlant. « Je sais qu'on a juré de se comporter en personnes civilisées mais là ça mérite un juron quoi, il a déménagé, putain de merde ! » m'exclamais-je, reprenant mon café alors que je re-glissais deux dollars dans la boîte. Jo' imprima la page, puis me la tendit, sachant bien que je traquais ce fameux Blackwood depuis des années. Je refusais qu'il me glisse entre les doigts comme ça. « Qu'est ce que tu vas faire ? » me demanda mon collègue, me volant mon café pour en boire une gorgée. Je pris une mine sérieuse, puis passais mes doigts dans mes mèches brunes, avant d'hausser les épaules. « Aller m'installer là bas. » Il écarquilla les yeux. « Quoi ?! » Je pinçais les lèvres. « Ce type doit un million d'euros à la justice, il est hors de question que je le laisse filer. Donc j'y vais. » Sans un mot de plus, je repris mon café, puis repartis dans le sens inverse, laissant mon collègue de travail bouche-bé.

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« Hop, attention ! » Deux mains de plus se posèrent sur le lourd carton que je portais, et je retrouvais immédiatement mon équilibre. Je grimpais les dernières marches de l'escalier, puis posais le carton sur le sol, découvrant mon sauveur. Je ris un peu. « Merci bien, sans vous tous mes livres se retrouvaient au rez-de-chaussé... » lui dis-je, levant enfin les yeux vers lui. Outch, c'est qu'il était plutôt mignon... Sacrément mignon même. « Avec plaisir. Vous êtes le nouveau voisin je suppose ? » me demanda-t-il, m'adressant un magnifique sourire et passant une main dans ses cheveux blonds. Je déglutis, bégueyant un peu. « H-Heu... O-Ouais, ouais ! » Je me sentais ridicule, sans même savoir pourquoi. Je me raclais la gorge, tâchant de reprendre contenance. « Et vous ? » Il désigna la porte juste en face de la mienne. « Votre voisin de pallier. Enchanté, je m'appelle Aiden Smith. » Il tendit sa petite main vers moi, je l'attrapais et la serrais doucement. Il était tout chaud. « Phoenix Adamson. » Ses yeux brillèrent d'une lueur adorable, je détournais le regard et arrangeait ma cravate. « Donc... » commençais-je, cherchant à partir sur un autre sujet. « Vous êtes mon voisin d'en face... J'espère que vous n'êtes pas trop bruyant... Je dors très peu, il me faut à tout prix mes heures minimales de sommeil. » Il avait rit. « Ne vous inquiétez pas, je suis quelqu'un de discret... Bon par contre ne vous étonnez pas si vous entendez des aboiements. » Je fronçais les sourcils. « Vous avez un chien ? » Il rougit un peu. « J'en ai quatre en fait... » J'écarquillais les yeux. « Q-Quatre ? » Il haussa les épaules « J'adore les animaux. Et vous ? Vous n'aimez pas ? » Je ne su que répondre devant sa mine adorable. Les animaux n'étaient pas vraiment mon truc, je n'avais pas assez de temps pour m'en occuper. J'avais eu un poisson rouge une fois, il avait finit mort de faim dans son aquarium... « Heu..Si, en fait j'adore, comme vous. » Je lui adressais un sourire, qu'il me rendit, et j'oubliais en le voyant que ce n'était qu'un vulgaire mensonge. « On va bien s'entendre alors. Je dois filer, à plus tard, monsieur Adamson. » Je soufflais. « Appelez moi Phoenix. » Il hocha la tête. « D'accord, appelez moi Aiden alors. » J’acquiesçais, avant qu'il ne disparaisse devant la porte de son appartement. La subite transe dans laquelle j'étais se brisa, et je me raclais la gorge, agitant la tête.


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« Allo ? » J'avais horreur qu'on me dérange lorsque j'étais en plein travail, mas apparemment ce numéro inconnu avait décidé de se passer de mon avis en m'appelant à minuit. « Phoenix ? C'est papa. » Je soupirais, lâchait mon stylo. « Je suis désolé de t'appeler si tard, mais la journée je suis très occupé... Et puis je sais que tu te couches tard. » Je souris en coin, il fallait dire qu'il me connaissait bien. « Je t'écoute papa, qu'est-ce qui se passe ? »Je me levais de mon bureau pour rejoindre l'immense baie vitrée de mon appartement qui donnait sur la ville endormie. C'était un spectacle sublime. J'enfonçais mes mains dans mes poches. « ...Bon anniversaire, fiston. » Je ne pu m'empêcher de rire un peu, passant une main dans mes mèches brunes. « T'es le premier. Pff, occupé pendant la journée... Tu parles ! » Je fixais les étoiles dans le ciel. « Merci papa. » Je devinais son sourire à l'autre bout du fil. « Comment c'est la vie en Australie ? » J'haussais les épaules. « Comme en Amérique, mais avec un petit accent et des surfeurs qui se la pètent. » Il rit, je fis de même. « Bon... Tu rentres quand ? » Je roulais les yeux. « J'te manque tant que ça ? » Il soupira. « Je me fais du soucis... T'as quelqu'un qui veille sur toi là bas ? T'es tellement irresponsable comme gosse... T'es capable de pas manger pendant trois jours. » Je mordillais ma lèvre. « Tu t'inquiètes... Écoute, je mange bien, je dors plutôt pas mal, et puis je bosse chez moi en ce moment... Pas de soucis tu vois ? » « Ta mère disait ça aussi, et elle n'avait tellement plus de forces à l'accouchement que... » « Arrête papa. Je suis pas comme maman. Ne commence pas. » Je me grattais l'arrière du crâne. « Pardon... Je m'inquiète trop... Tu sais, j'aimerai bien que tu te trouves quelqu'un... Elle veillerait sur toi, tu serais bien. La vie c'est quand même mieux à deux, tu sais. » « Sans doute » « C'est sûr même. Bon, je te laisse, t'as du boulot je suppose... Encore bon anniversaire... » J'hochais la tête. « Salut, et encore merci. » Je raccrochais, soupirais, puis me remettais au boulot.

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« J'arrive, j'arrive. » m'exclamais-je en entendant la sonnette d'entrée retentir dans mon appartement. Je me demandais bien qui cela pouvait être à cette heure de l'après midi, où tout le monde était au boulot... Et puis même, je ne connaissais pas grand monde dans cette ville, qui pouvait bien venir sonner chez moi ? Je repensais au facteur, que j'avais vu ce matin, au concierge que j'avais vu hier... Sans attendre plus, je déverrouillais la porte et l'ouvrais. « Oh, Aiden. » Il fit son sourire dont lui seul avait le secret, ses cheveux blonds parfaitement coiffés. « Salut voisin ! Je suis désolé de vous déranger... Mais j'ai quelque chose d'urgent. » Je baissais les yeux et remarquais alors qu'il tenait entre ses mains, un minuscule chaton qui dormait, visiblement tout calme. Je clignais des yeux. « Voilà, vous m'avez dit que vous adorez les animaux... Je travaille au refuge de la ville, et ce petit cœur a besoin d'une famille... Alors je me suis dis que vous pourriez peut être... » Je déglutis. « Le...Le... Le chaton ? Le prendre ? » Il sourit tendrement. « Seulement si vous le voulez bien... » Qu'aurais-je pu répondre à ce sourire et à cette bouille adorable ? Sur le moment, je fus incapable d'envoyer bouler Aiden, comme hypnotisé par ses yeux et son sourire. « Je... Ouais, bien sûr ! Avec plaisir... I-Il s'appelle comment ? » Je lu une telle joie dans ses yeux, que je ne pu m'empêcher d'être heureux à mon tour. Était-ce permis d'être aussi mignon ? « Oh merci Phoenix, merci ! Elle s'appelle Cléo. » Il me tendit le petit chaton qui venait à peine de se réveiller. La petite bête baillait un peu et agitait ses minuscules pattes dans le vide, je la pris contre moi. Aiden me tendit un sac. « Je vous ai tout préparé, jouets, gamelle, nourriture... Encore merci, vraiment. Vous êtes quelqu'un de génial. » J'avais vengé des centaine de victimes, sauvé quelques personnes... Mais jamais aucun remerciement ne m'avais parut si touchant. « E-Eh, de rien ! » Il se mit sur la pointe des pieds et embrassa ma joue, avant de filer sans un mot. Je clignais des yeux, posant ma main sur ma joue devenue toute chaude, et souriant grandement. Le chaton poussa un léger miaulement, j'haussais les épaules, et refermais la porte.