† once upon a time
Je faisais des études de l'environnement avant de choisir le sport + Je n'ai eu qu'une relation sérieuse jusqu'à présent et elle s'est mal terminée donc je me suis longtemps contenté de draguer, même si maintenant mon coeur bat pour une demoiselle. + Gamin, je faisais de la compétition de surf. + J'avale des quantités assez astronomique de nourriture par jour. Je me dépense beaucoup grâce au sport alors il faut bien que je compense. + Je suis un très mauvais danseur. En soirée j'évite toujours de trop m'afficher, surtout si j'ai un verre dans le nez. + Je rêve d'aller visiter les pays nordique et d'aller au Canada. Le petit plus serait d'assister à un match de hockey. + Certaines personnes pensent que je homosexuel avec Ashton. Laissons planer le mystère... + Je vis seul, malheureusement. Mais de temps en temps, ma petite soeur me fait la joie de foutre des miettes de chips partout sur mon canapé. + Quand j'étais gamin, j'étais un vrai maigrichon. En cours de sport, on se demandait comment mes jambes ne se brisaient pas lorsque je courrais. + J'adore la série "How I met your mother". Si j'ai le moral en bas, il me suffit d'un épisode pour être mort de rire. + Je collectionne les casquettes de basketball. + Je n'ai pas vraiment de type de filles même si j'ai longtemps préféré les blondes, à présent je préfère un joli visage et deux neurones connectés entre les deux oreilles. + Les dimanches matin, j'embarque ma vieille planche de surf pour aller faire deux ou trois vagues avant que la plage ne soit bondée de touristes. + J'adore offrir des fleurs à ma maman. + En soirée je ne bois que de la tequila. La vodka me donne l'alcool mauvais. + J'ai une sacrée quantité de bandes dessinées dans mon salon. Je ne sais bientôt plus où les mettre. + Je rêverais d'aller visiter les bureaux Marvel à New York. + Contrairement à ma soeur, je n'aime pas spécialement lire les pavés. + Je viens d'adopter un chiot dalmatien que j'ai prénommé Hendrix. Comme le king de la guitare. + Je mets de l'argent de côté pour pouvoir emmener ma petite soeur à Disneyland un jour. Mais chut, c'est un secret. + Je ne peux pas commencer une journée sans une bonne douche et un café.

Que pensez-vous de l'amour ? Jusqu'où seriez-vous prêt à aller ? J'ai la chance d'avoir grandi dans une famille où j'ai toujours vu mes parents fous amoureux, même après quinze ans de mariage. J'ai donc eu une bonne image de l'amour et du mariage de manière générale, comparé à beaucoup de jeunes qui ont vu leur famille se déchirer à cause d'un divorce. Je crois donc en l'amour et je crois que deux personnes sont faites pour vivre toute leur vie ensembles et ne jamais se lasser. Il faut juste trouver LA bonne personne. Et je pense que oui, que je serais capable de tout. Je l'ai déjà prouvé d'ailleurs avec mon ex. J'ai traversé la moitié du globe pour essayer de gratter quelques heures avec elle. Que vous évoque votre première histoire d'amour ? Ma première histoire d'amour c'était du bonheur, beaucoup de bonheur. Des rires, des souvenirs, des moments inoubliables. J'essaie de me rappeler des bons moments plutôt que les côtés négatifs mais c'est pas tous les jours faciles. Comment imaginez-vous votre avenir amoureux ? Pour l'instant, j'avoue que c'est vague, très vague. Il faudrait déjà que je me défasse de mon passé amoureux avant de pouvoir penser au futur. Et la seule personne qui m'intéresse est quelqu'un de sensible et j'ai peur qu'elle se brise. Je ne sais pas comment expliquer cette peur. J'ai envie d'être là pour elle, mais j'ai peur de ne pas être à la hauteur et qu'elle se retrouve encore plus brisée. Si toutefois, ça devait se faire et marcher entre nous, j'espère vraiment que ça durera longtemps. Je ne suis pas non plus du genre à croire que telle personne est la femme de ma vie, mais j'ai envie de parcourir un petit bout de chemin avec elle. Si vous devriez choisir entre l'amour et l'argent que feriez-vous ? L'argent c'est éphémère de toute manière. Alors que l'amour, si on trouve le bon, il dure toute la vie. L'argent ne vous sortira jamais d'une galère, il ne vous remontera jamais le moral, il ne vous offrira jamais une famille ni un avenir heureux. L'argent ça va, ça vient. Ca n'apporte que des soucis et parfois il est aux abonnés absents. Alors qu'une fiancée, une épouse, ça reste toute la vie. Car oui, je fais partie de ces personnes qui veulent se marier uniquement si elles sont sûres que c'est la personne auprès de qui elles veulent mourir. Je ne me marierais pas pour me divorcer quelques années plus tard. Avec moi, ça sera permanent.

pseudo/prénom ? H3artbeats/Virginie âge : Vingt deux ans. pays : RÜTERKRAFT! tu es ? bi un scénario du magnifique et ô légendaire bouclette aka Ashton. comment as tu découvert le forum ? Sur Facebook. Mais j'ai déjà joué ici (ne me demandez pas qui, je ne me rappelle plus). t'en penses quoi ? J'adore le design et le fait que ça se passe en Australie. fréquence de connexion ? Dès que possible. J'ai des horaires de magasin donc je pars tôt le matin et rentre tard le soir. Mais je me suis toujours débrouillée. quelque chose à rajouter ? Que la Force soit avec moi   

Code:

<taken>liam payn</taken> <pseudo> logan coleman.</pseudo>

« T’es sérieuse là ? Encore la Petite Sirène ?!  » Je lançai un regard lourd en sous entendus à ma petite sœur. Elle connaissait ce dessin animé par cœur et par défaut, moi aussi du coup. « La ferme ou je te mords ! » J’écarquillai mes yeux avant de m’enfoncer dans le canapé en fixant la télévision. Va pour la Petite Sirène alors. J’ai trop souvent eu les marques de dents de Joey pour en vouloir de nouvelles. C’était sa meilleure technique de défense quand elle état gosse. Enfin, pour moi c’est toujours une gosse de toute manière. C’est un peu ma fierté aussi. Ce n’est pas ma fille, mais c’est ma petite sœur, je l’ai vue tout bébé, quand elle ne faisait que chouiner et m’empêcher de dormir, quand elle empestait toute la maison avec ses couches sales et qu’elle me rendait tous ses repas dessus à chaque fois que c’était à moi de m’en occuper. Petit à petit, je l’ai vue devenir une jeune femme et je peux vous dire que j’ai pris une sacrée claque quand elle a commencé à s’habiller comme une adulte, qu’elle a laissé pousser ses cheveux et qu’elle a commencé à piquer le maquillage de maman. J’ai pas honte de dire que j’ai pris un coup de vieux. Mais pour moi, elle restera toujours cette petite fille qui courait dans toute la maison en couche culotte.

« T’as pas des répétitions ou un truc du genre au lieu de scouater chez moi ? » demandais-je innocemment. « Pourquoi ? T’attends une fille ? » S’il y a bien un sujet que j’évite de trop aborder avec Joey c’est bien les filles. Davantage par pudeur que par honte. Ma petite sœur connaît tout de moi et ça vaut pareil pour l’inverse. Mais j’ai toujours eu du mal à parler de mes relations avec elle. Elle était au courant pour Candace, la fille qui m’a brisé le cœur et elle sait que depuis là, j’ai eu tendance à n’avoir que des femmes pour le temps d’une nuit. Elle se doute sûrement de quelque chose, parce que c’est ma sœur et qu’elle me connaît par cœur, mais j’aimerais vraiment éviter un pétage de plomb massif si je lui parle de Enola. « Non, Ashton est sensé passer. » Mon ton se voulait un peu plus froid, plus dur mais parce que je savais très bien quel effet ce prénom avait sur ma sœur. Meilleur moyen de la faire déguerpir de chez moi croyez-moi. « T’as raison ! J’avais complètement oublié cette répétition là… Avec le groupe… Et les instruments… Dans une salle… Bref. Je te laisse regarder la fin de la Petite Sirène hein ! » Plutôt fier de moi, je tendis la joue pour qu’elle me l’embrasse et ne pu retenir un petit ricanement en la voyant enfiler sa veste et fuir mon appartement en toute hâte. Peu de frères peuvent se venter d’avoir une relation aussi fusionnelle avec leur sœur. J’ai de la chance parce que même si elle a eu ses phases où elle était agaçante – comme lorsqu’elle a décidé d’arrêter les études, par exemple hein – on ne s’est que rarement disputés et on a vraiment une relation très proche. Enfin, quand elle me casse pas les bonbons avec son poisson à cheveux rouges.



« Ecoute… Hum… Ca me gêne un peu de te demander ça Logan… » Je fronçai les sourcils. Pourquoi les voisins veulent toujours avoir une conversation dans l’ascenseur de l’immeuble franchement. Je prenais toujours les escaliers, c’était plus fort que moi, mais pour une fois que j’avais décidé de faire le flemmard, il fallait que le voisin d’en face – un vieux papy très gentil mais un peu commère – le prenne en même temps que moi. « Oui Monsieur O’Connor ? » J’ai toujours été quelqu’un de très poli, surtout avec les personnes âgées et je m’étonnais moi même d’être aussi gentil avec lui. Je le vis hésiter avant de finalement ouvrir la bouche pour parler. « Tu sais, dans mon temps, deux hommes ne pouvaient pas vivre sous le même toit. C’était un peu gênant pour le reste du voisinage, surtout s’il y avait des bruits nocturnes. » Je haussai les sourcils. Pourquoi je ne comprenais pas où il voulait en venir. « Je sais que nous ne sommes plus dans l’ancien temps et que tu fais ce que tu veux de ton derrière mais… Avec les autres voisins nous commençons à nous poser des questions. » C’est le problème quand vous emménagez avec votre meilleur ami dans un immeuble où il y a essentiellement des personnes âgées. Ca peut avoir des avantages mais c’est aussi souvent très embêtant. « Monsieur O’Connor, Ashton et moi sommes juste meilleurs amis. Nous nous sommes connus quand nous étions à peine adolescents et à cause de l’université, on ne voulait pas perdre contact alors on a décidé d’emménager ensembles. Mais c’est tout. Je sais bien que de temps en temps on rigole trop fort ou qu’on fait trop les fous mais on va essayer d’y remédier. » Manière très diplomate de faire comprendre à mon voisin qu’Ashton et moi ne sommes pas homosexuels et que les « bruits nocturnes » qu’il a tendance à entendre ne sont que des bruits de déconnade.

Mais rien n’y a fait. J’ai dû me séparer de mon meilleur ami. Sans exagérer ; sûrement le pire moment de ma vie. Je n’avais pas envie de le quitter. Nous avons toujours été inséparables et pour moi c’était juste hors de question qu’à cause d’une rumeur stupide, on doive se séparer. Allez séparer des jumeaux, c’est pareil. Nous étions tous les deux très mélancoliques lorsqu’il faisait ses cartons et qu’il sortait de l’appartement pour… Les mettre dans l’appartement d’à côté. Très, très, très mélancolique… C’était trop loin pour mon petit cœur. Heureusement, on avait la clé de l’autre et on scouatait le plus possible pour ne pas être trop séparés. Et puis je vais pas vous mentir, ça ne me manque absolument pas de ne plus entendre Ashton chanter comme une casserole sous la douche.


Je me suis toujours bien entendu avec nos parents. Avec Joey, nous n’avons jamais manqué de rien et je sais qu’ils sont fiers de nous avoir élevé comme ils l’ont fait. On a vraiment de la chance d’avoir nos deux parents qui s’aiment comme au premier jour et qui resteront sûrement ensembles jusqu’à leur mort. Dans mon entourage, c’est assez rare de trouver une famille complète… Mais – parce qu’il y a toujours un mais – le jour où j’ai annoncé à ma famille que j’allais me diriger dans les études pour le sport, j’ai cru avoir jeté un froid. J’étais le plus vieux, celui qui était assez assidu à l’école et qui ne manquait jamais un cours bien qu’il se prenait souvent des avertissements à trop rire avec son meilleur ami. Ma maman aurait voulu que je fasse un métier dans la littérature ou pourquoi pas dans l’environnemental comme j’avais d’abord commencé à étudier cette branche. Elle me voyait comme Mike Horn à faire le tour du monde, à vouloir sauver nos forêts et donner des cours de sensibilisation aux jeunes pour qu’ils essaient de minimiser les dégâts sur notre terre. Papa aurait peut-être voulu que je reprenne un garage et que j’en sois le patron, que je décide d’être architecte quelque chose dans le genre… Mais non. Ils connaissaient mon goût pour le sport, ils me voyaient en faire tous les jours, aller courir avant d’aller en cours, travailler au centre de boxe les soirs pour me faire de l’argent, ils se rappelaient très bien que j’avais fait de la compétition de surf quand j’étais gosse… Et malgré tout, ils ont été surpris de savoir que j’allais poursuivre mes études dans cette voie là.

Avec humour, je leur avais dit qu’ils pouvaient toujours compter sur Joey pour faire de grandes études et les rendre fiers, mais tout ça, c’était avant que Mademoiselle décide de tout arrêter pour faire de la musique. Même si au début, ça m’a un peu surpris, dans le fond, je la comprends totalement. J’aurais aimé arrêter l’école pour le surf également mais je savais que ça ne me mènerais nul part. Que voulez-vous, la famille Coleman est une famille de créatifs, de sportifs et de musiciens. Aucun enfant ne sera juge ou maire de la ville.


« Salut ! Tu as quoi comme joli bouquet pour ma maman ? » Si je comptai bien, c’était la troisième fois en deux semaines que je venais sur le lieu de travail de Enola pour acheter un bouquet de fleurs à ma maman. La première fois, j’avais pris des roses jaunes et oranges, parce que je sais que maman adore les couleurs… Lundi passé, Enola m’avait proposé un bouquet avec toutes sortes de fleurs dont elle seule connaissait les noms et cette fois, j’avais envie de quelque chose de très printanier. Enola me lança un petit regard avant de prendre ce qui ressemblait fortement à des tulipes. « Tu adore offrir des fleurs à ta maman dis donc ! » « Oui ! Je sais que ça lui fait toujours plaisir.  » Je ne mentais qu’à cinquante pour cent. Maman adorait vraiment recevoir des fleurs et moi ça me faisait plaisir de lui en offrir. Mais si je venais ici plutôt que dans une autre boutique, c’était bien parce que la vendeuse avait davantage d’arguments.

Enola est une jeune femme comme j’en ai peu l’habitude de fréquenter. En temps normal, je vais à des soirées, une blonde un peu prétentieuse s’approche de moi et je conclu mais là, ça avait été très différent avec la jolie brune. Nous nous étions retrouvé à une soirée où clairement, aucun de nous deux ne voulait se trouver. On avait sympathisé et depuis on s’est beaucoup rapproché. Même si tout d’un coup, elle a commencé à m’éviter. Enfin, le genre de relation vraiment compliquée que mon propre cerveau a du mal à suivre. Je ne sais pas pourquoi j’insiste. Dès notre rencontre, Enola m’a rembarré, m’a ignoré et a évité de me dire des trucs trop personnels. Pourtant, j’ai continué à insister, à venir la voir ici et à essayer d’en savoir plus sur elle. Et ça paie car même si je ne lui en ai pas touché un seul mot, on pense tous les deux à ce qu’il s’est passé hier soir.

J’étais chez moi, en train de dormir quand mon portable avait fait vibrer toute ma table de nuit, me sortant un peu trop brusquement de mon sommeil. Lorsque j’avais vu le numéro d’Enola s’afficher, je me suis tout de suite douté que quelque chose n’allait pas. Pourquoi me téléphonerait-on au milieu de la nuit. Elle m’avait avoué avoir besoin de moi alors je m’étais précipité chez elle, en empruntant la voiture d’Ashton. Lorsqu’elle avait ouvert la porte, je m’étais retrouvé face à une jeune femme épuisée et surtout ; en larmes. Elle s’était laissée tomber dans mes bras. Chose vraiment bizarre venant de sa part. J’ai passé le reste de la nuit à essayer de la consoler, de la calmer.

Je craque déjà sur elle depuis plusieurs mois. Il y a quelque chose chez elle qui m’attire. Elle est simple, naturelle et elle a ce côté mystérieux qui me donne envie d’en savoir encore plus.

« Elle aime bien le violet aussi ? » Je hochai la tête, sortant de mes pensées. J’ai quitté son domicile ce matin pour rentrer chez moi et dormir un peu. A peine réveillé, j’étais venu ici pour acheter ce fameux bouquet de fleurs qu’elle était en train de me préparer. Aucun de nous deux ne faisait référence à cette nuit.

Mais je suis un peu près sûr qu’elle se doute que je viens ici uniquement pour pouvoir la voir.