† once upon a time
   → elle se mord constamment le bout de la langue lorsqu'elle est concentrée sur ce qu'elle fait. → la musique est sa raison de vivre. on la compare souvent à une encyclopédie musicale. → bien piètre cuisinière, elle préfère largement les plats à emporter. → elle se mord souvent la lèvre inférieure. → elle joue avec ses cheveux quand elle est pensive. → elle n'aime pas le chocolat. → elle a une peur bleue des araignées. → elle n'aime pas la solitude et le silence, bien qu'il lui arrive parfois de ressentir le besoin de s'isoler. → son frère, c'est l'homme de sa vie. elle tuerait pour lui. une relation plus que fusionnelle dont elle serait incapable de se passer. → c'est con à dire, mais elle croit encore au prince charmant. elle n'en parle à personne au cas où on se foutrait de sa gueule. → la famille est la chose la plus importante à ses yeux. que personne n'ose s'en prendre à l'un de ses membres, sinon elle se transforme en une véritable furie. même godzilla se ferait dessus. → elle a toujours son portable sur elle. → le caramel est son péché mignon. → elle ne supporte pas le mensonge et l'hypocrisie. → les hôpitaux la font paniquer. → elle sait chanter et elle adore ça, mais la guitare reste son instrument favori. → elle trouve les gays bien plus attachants et humains que les hétéros. → cette femme agit comme un bonhomme et ne montre que rarement à quel point elle est brisée. → elle a un excellent sens de la répartie et aime avoir le dernier mot. → elle est incapable de rester en place, elle a toujours besoin de bouger. → c'est une grande fan des dessins animés. → c'est une gamine qui refuse encore de grandir malgré la maturité dont elle sait faire preuve. → elle a un chat, alfred, auquel elle tient énormément. → elle n'aime pas les endives. → elle est allergique aux fruits de mer. → elle ne porte pas de strings parce qu'elle n'aime pas ça. elle porte uniquement des boxers. → elle peut faire absolument n'importe quoi avec ses cheveux. → elle s'exprime le plus souvent par un simple regard. → elle ne se maquille que très peu, son crayon noir étant son seul véritable partenaire permanent. → le film qui la fait pleurer à chaque fois, c'est la ligne verte. → elle est totalement fan de stephenie meyer et de j.k. rowling. → elle est très pudique → elle déteste les psychologues et les pédopsychiatres et les psychothérapeutes et toutes les personnes exerçants un métier commençant ou comprenant le mot psy. → elle se trouve pathétique quand elle parle d'amour alors elle préfère se taire sur le sujet. → elle mord. → elle pourrait tuer si elle n'a plus de chewing-gum à la cerise. → elle adore les pandas et les koalas. → les claps, c'est son petit havre de paix, son échappatoire. le groupe compte énormément pour elle et chacun de ses membres sont spéciaux à leur façon à ses yeux.

   Que pensez-vous de l'amour ? Jusqu'où seriez-vous prêt à aller ? l'amour est un bien grand mot. enfin, c'est surtout bien trop grand pour de simples mortels. l'amour, quand on le trouve, il ne nous quitte plus. l'amour, c'est quelque chose de magique, qui n'arrive que rarement. des papillons dans le ventre, la gorge qui se serre, le manque d'air. tout ça, ça se passe quand on voit l'objet de notre amour. enfin, ça le fait surtout quand c'est réciproque, mais ça, c'est un autre problème. par amour, j'irais jusqu'au bout du monde. enfin, pas vraiment, juste dans la limite du raisonnable, il ne faut pas déconner non plus. je serais prête à faire beaucoup de choses par amour, du moment que cela ne part pas trop dans du grand n'importe quoi incontrôlable. quoi que. Que vous évoque votre première histoire d'amour ? sens unique. pour être tout à fait honnête, j'attends encore ma première histoire d'amour. oh bien sûr, j'ai été amoureuse mais c'est compliqué. trop jeune, pas assez intéressante, simple petite soeur et bla bla bla. on fait ce que l'on peut. ce n'est pas de sa faute, je ne lui en veux pas. c'est juste que j'aurais voulu que ce soit possible. j'aurais voulu que ça se passe différemment. Comment imaginez-vous votre avenir amoureux ? j'ai déjà énormément de mal à savoir où je vais dormir cette nuit, alors imaginer mon avenir amoureux, c'est pas vraiment évident. bien sûr, je rêve qu'il me remarque enfin, autrement que comme la fillette du coin qui a besoin d'être protégée. mais ça, je pense que je peux attendre encore genre, très longtemps. alors franchement, mon avenir sentimental, je n'en n'ai strictement rien à cirer, ce n'est pas ma priorité (mais bien sûr, on y croit). Si vous devriez choisir entre l'amour et l'argent que feriez-vous ? l'amour. aucun doute possible. à quoi me servirait l'argent si je ne peux pas m'épanouir auprès de quelqu'un. l'amour serait mon choix, le premier, comme le dernier.


   pseudo/prénom ? b_bulle / mélissa. âge : vingt-deux ans. pays : france. tu es ? un scénario parce que ça claque les scénarios. comment as tu découvert le forum ? j'étais sur la première version et là, j'ai redécouvert les forum sur bazzart. t'en penses quoi ? une tuerie. une fois de plus. fréquence de connexion ? quotidienne mais plus en coup de vent. donc on va dire que réellement, ce sera quatre jours sur sept. quelque chose à rajouter ? blop.

   

Code:

<taken>chloe moretz</taken> <pseudo>✝ joey coleman.</pseudo>

   

“ CHAPITRE PREMIER ” « THIS IS A STORY ABOUT CONTROL, MY CONTROL. CONTROL OF WHAT I SAY, CONTROL OF WHAT I DO. AND THIS TIME I'M GONNA DO IT MY WAY. » L'histoire d'une vie. L'histoire de ma vie. Une histoire retrace les évènements et faits importants dans la vie d'une personne. A moi de vous raconter la mienne à présent.

« Putain, j’vois ici les hommes les plus forts et les plus intelligents que j’aie jamais vu. J’vois tout ce potentiel, et j’le vois gâché. J’vois une génération entière qui travaille à des pompes à essences, qui fait le service dans des restos, qui est esclave d’un petit chef dans un bureau. La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien. On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis, on n’a pas de but ni de vraie place ; on n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression, c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rock stars, mais c’est FAUX. Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment, plein le cul. » fight club.

L'enfance. Que de plus heureux que ce sentiment d'innocence, de sécurité et d'amour. L'enfance est une période de la vie que personne n'oubliera jamais. L'enfance est ce qu'il y a toujours de plus beau dans la vie des gens. Bien entendu, pas pour tous le monde. Certaines personnes ne vivent pas toujours dans le bonheur et dans la joie. Et ce, même depuis leur première respiration. Au début, tout était parfait. Au début, tout était de l'or pur et simple. Mais ça c'était au début.

« Joey ? » Un. Deux. Trois. « Joooooooey ? » Un. Deux. Trois. « Joooooeyyyyy ? » Un. Deux. Trois. « Alleeeeer, t'es pas marrante, tu te caches oùùùù ? » Un. Deux. Trois. « Derrière toi. » Un sourire plus qu’étincelant se dessina sur mes lèvres. En un battement de cils, je me suis retrouvée emprisonnée par ses bras. « T'es malade, tu ne me refais plus jamais ça, tu disparais pas comme ça, t'es dingue, tu te rends compte que ça m'a fait peur ? Non mais Joey, jure moi que tu ne le feras plus jamais. » Aiden. Mon frère. Mon grand-frère pour être plus précise. De quatre ans mon aîné même. Je devais avoir quoi ? Cinq ans peut-être. J'aime bien le faire rager comme ça. Enfin, ce n'est pas le faire rager, c'est plus le faire tourner en bourrique. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il tombe toujours dans le panneau. Même pas besoin de rajouter deux ou trois éléments de surprise, rien de plus que d'habitude. « Je serais toujours derrière toi Aiden ... Toujours ... » Cependant, je sais que cela ne lui suffit pas. Il a besoin de plus que ça. Comme moi en somme. Je suis une grande fille déjà. Cinq ans, c'est grand. Mais, franchement, j'ai besoin de mon frère. Et je crois même que je ne pourrais jamais m'en séparer. La nuit, quand je fais des cauchemars, ce n'est pas vers mes parents que je cours me réfugier. La seule chose à laquelle je pense, c'est de retrouver Aiden, me glissant dans sa chambre avant de le voir se tourner vers moi et m'accueillir à bras ouverts. Qui aurait cru qu'une relation aussi fusionnelle puisse se faire une place entre deux personnes si différentes ? Certainement pas nous, et encore moins nos parents. Il fallait voir leur tête quand ils nous trouvaient tous les deux, endormis dans le lit d'Aiden. Ca, c'était drôle. Et puis, ils n'ont jamais essayé de nous séparer. Je crois qu'il ne valait mieux pas. Malgré notre différence d'âge, c'est comme si elle n'existait pas. Complémentaires, voilà ce que nous sommes. A l'instar de jumeaux, je pense que l'on pourrait facilement rivaliser avec des clones. Mais ça, c'est un secret qu'il ne faut pas répéter. Mon grand-frère, c'est ma vie. Je ferais tout pour lui. Absolument tout.

“ CHAPITRE SECOND ” « I CAME TO WIN, TO FIGHT, TO CONQUER, TO THRIVE. I CAME TO WIN, TO SURVIVE, TO PROSPER, TO RISE. TO FLY. »

« J’avais cru que se serait un souvenir d’adolescence auquel je repenserai, comme avoir eu le béguin pour le capitaine de l’équipe de football. Mais je me rends compte que ce qu’on a va plus loin, bien plus loin. Nous avons une histoire commune, une amitié, nous nous écoutons l’un l’autre, nous rions ensemble, chacun finit les paroles des chansons de l’autre, je n’ai pas besoin de faire semblant avec le hip hop, et le hip hop n’as pas besoin de faire semblant avec moi. Mes sentiment n’ont jamais été plus clairs et je sais qu’il ne disparaitrons jamais. » brown sugar.

L'adolescence et ses soucis quotidien. C'est à cette période qu'arrivent les trucs de filles. Les règles, les premiers garçons, les cours qui s'intensifient et tout le reste. On ne sait jamais vraiment comment un adolescent va réagir à tous ces problèmes quotidiens qui ne font que, dans la plupart des cas, se compliquer. La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Il faudrait penser à le leur dire un jour. Une seule tragédie ne suffit jamais. Rien n'est jamais trop beau pour être vrai. L'enfance, l'innocence d'un nourrisson. Nous devrions tous rester à cet état de petit être sans défense, innocent et incapable de comprendre la vie et ses défauts.

Rentrer à la maison le plus vite possible. Courir comme si ma vie en dépendait. Il fallait absolument que je raconte à Aiden ce qu'Alice et Connor avaient trouvé à faire. Il fallait qu'il sache à quel point c'était du n'importe quoi, mais qu'il fallait qu'il couvre mes arrières. Je suis passée dans le salon comme une fusée, ignorant ma mère qui passait par là. J'ai jeté mon sac dans ma chambre et couru jusqu'à celle de mon frère. Sauf que, ce n'est pas mon frère que j'ai trouvé dans cette chambre. « Salut, moi c'est Ashton. » Attendez, j'ai loupé un épisode. C'est qui ce type ? Pourquoi il est dans la chambre de mon frère ? Attendez, pourquoi j'ai le coeur qui s'accélère ? J'ai un problème, je crois. Je pense que j'ai l'air totalement débile à rester bloquée sur le pas de la porte, à le fixer comme s'il venait d'un autre monde. Au pire, tant pis, ce qui est fait, est fait. Cela dit, il faut vraiment que j'arrive à mettre un mot sur ce drôle de phénomène. Il faut que je bouge d'ici. J'ai soudainement besoin d'aller prendre l'air. J'essaye de communiquer mais un langage étrange s'échappe d'entre mes lèvres sèches. D'accord. Pas la peine d'essayer une nouvelle fois, je préfère prendre la fuite direction ma chambre, porte fermée et lumière éteinte.

« Alice ? Tu m'écoutes ? » Cela devait bien faire deux heures que je n'avais pas arrêté de parler. C'est à peine si je prenais le temps de respirer, reprendre mon souffle de temps à autre. « Je ne fais que ça Joey, j'te jure ... » Alice, c'est ma meilleure amie, la plus merveilleuse de toutes les filles que je connaisse, la plus grande partie de ma vie. Elle sait tout, absolument tout. Alors, je crois inutile de préciser que je n'ai pas mis longtemps avant de raconter ma rencontre avec ce garçon qui me fait un effet bizarre. En fait, j'ignore encore comment j'ai fait pour attendre le lendemain. Enfin, je l'ai fait. Cela doit faire deux heures que je la bassine avec ça. « Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ... ? » Désespérée, je m'affale sur la table, la tête prise entre mes deux mains. Mon cerveau va finir par éclater à force de me torturer de cette façon. « J'vois qu'un truc qui ressemble à ce que tu m'dis ... » Je relève la tête, les yeux pleins d'espoir tournés vers ma meilleure amie. « T'es amoureuse. » J'éclate de rire. Moi ? Amoureuse ? Non, ça, c'est impossible.

“ CHAPITRE TROISIÈME ” « MY PERSUASION CAN BUILD A NATION IN THIS POWER OUR LOVE CAN BE DEVOUR. YOU'LL DO ANYTHING FOR ME. WHO RUN THE WORLD ? GILRLS ! »

« Les épaules sur lesquelles on s’épanche vont et viennent mais une meilleure amie pour la vie on l’a pour toujours. Parce que quelque soit l’endroit ou vous allez, vous savez que vous n’y allez pas tout seul ; Personne ne possède toutes les réponses, et parfois, la meilleure chose qu’il nous reste à faire est de pardonner, en laissant le passé derrière nous ; Lorsqu’on regarde vers l’avenir en croyant tout savoir à l’avance, il ne faut jamais oublier que la vie peut nous surprendre à tout instant ; et qu’il est toujours possible de se surprendre soi-même. » gossip girl.

Le passé. On s'accroche bien trop souvent au passé. Il nous a forgé. Il a fait de nous ce que nous sommes aujourd'hui. Il nous a fait faire des choses que nous regrettons et d'autres que nous ne regrettons pas aujourd'hui. Nous pouvons être fiers d'avoir un passé, qu'il soit simple ou compliqué. Le passé est ce que nous avons de plus précieux au monde. Il est notre identité, notre passeport, notre adresse, notre vie toute entière. Il ne sert à rien de s'y accrocher. Le passé ne peut être changé. Le passé ne doit pas être changé. Chaque personne est exceptionnelle. Le monde est composé de plus de six milliards d'exceptions. Chaque personne doit faire ses preuves chaque jour. Et c'est à cause de cela, de toutes les épreuves que chacun doit surmonter que nous sommes tous des exceptions.

En y réfléchissant bien, si, je suis amoureuse. Un amour impossible qui me ronge de l'intérieur. Le problème, c'est qu'il s'agit du meilleur ami de mon frère. Là, c'est pire qu'un simple problème. On ne réchappe pas d'une chose pareille. Alors je me tais, c'est ce que j'ai de mieux à faire. D'ailleurs, depuis la première fois que je l'ai vu, je me trouve incapable de parler en sa présence. Des hochements de tête, de simples petits bruitages. Aiden me regarde de travers et je crois qu'il a compris depuis longtemps mais il préfère ne rien dire. Ce jour-là, après avoir passé la majeure partie de ma journée avec les garçons, je me suis enfermée dans ma chambre. J'avais besoin de calme, du silence complet. Et puis, j'ai regardé les photos, j'ai revu les souvenirs, les petites attentions qui se voulaient sans arrière-pensée. Et les larmes ont déferlées sur mes joues. Impossible de m'arrêter. Ce n'était pourtant pas faute d'avoir essayé. Aiden s'inquiétait. J'avais pris le soin de verrouiller la porte pour qu'il ne me voit pas dans cet état. Je savais pertinemment, qu'à partir du moment où il comprendrait pleinement la situation, les choses allaient mal tourner. Je refusais donc qu'il puisse me voir à ce point malheureuse. Je refusais de mettre en péril une si belle amitié pour une simple histoire de sentiment d'une petite soeur un peu trop fragile. je suis partie loin dans mes pensées quand quelqu'un s'est acharné sur la porte de ma chambre. Un tambourinage en règle qui ne pouvait être que celui d'Alice. « Mais bordel Joey, ça fait des heures que t'es là-dedans ! » Aiden avait du l'appeler. C'était bien son genre. Et puis, des heures ? Tant que ça ? J'ai tourné la tête vers mon réveil et j'ai compris. Les larmes se sont mises à couler de plus belles. Bordel mais pourquoi est-ce qu'il faut qu'un garçon me mette dans un état pareil ? « C'est encore Ashton hein ? » Aiden a dû s'en aller pour qu'elle prononce ce prénom. Je la déteste de me connaitre aussi bien. Résignée, j'ose me lever de mon lit pour aller lui ouvrir. A peine ais-je vu son visage qu'elle m'a prise dans ses bras pour me serrer contre elle aussi fort qu'elle le pu. Alice, mon Alice, celle qui sait tout de moi et qui ne m'abandonnera jamais. Alice, mon Alice, si tu savais à quel point les autres nous jalousent. Alice, mon Alice, ne me laisse pas tomber, je t'en supplie.

“ CHAPITRE QUATRIÈME ” Des semaines et des semaines qu'on en parle, que tout est planifié et que rien ne personne ne me fera changer d'avis. J'ai décidé de tout plaquer: études et vie sentimentale. Mes parents n'ont pas vraiment apprécié le fait que j'arrête les cours. Et alors quoi ? Plus bornée que moi à ce niveau-là, il n'y a pas. Pour moi, ça ne me servira à pas grand chose les études. Alors que la musique, c'est ça que je veux. Je vis dans un monde utopique dans lequel je pense que l'on peut vivre de sa passion. Et puis, quand on sait que le groupe est formé des meilleurs, ça ne peut que fonctionner. Alice, Connor, Callum et moi. On va aller loin, genre hyper loin, je le sais, je le sens, on en est plus que capable. Les parents ont bataillés pour que je continue et que je laisse la musique comme passion, hobby ou je ne sais trop quoi qui ne prendrait pas une place assez importante dans ma vie. Mais non, j'ai eu le dernier mot après une bataille sans merci dans laquelle j'ai failli perdre gros. Aiden n'a rien dit. En même, que voulez-vous qu'il dise ? Et puis, de toute façon, il n'est même plus à la maison et ça, c'est un autre problème qui prend bien trop d'importance. Mais bon, j'ai le double des clés de son appartement alors j'y fais un saut de temps en temps. Souvent en fait. Bref. La musique, c'est ça que je veux et je l'aurais. En contrepartie, j'ai accepté de travailler, histoire de dire que je faisais quelque chose de bien. Le starbuck du coin fera l'affaire, et puis, ce n'est pas si mal que ça finalement. Et puis, ce n'est pas trop loin de chez moi, ni même de chez mon frère alors c'est plutôt cool. Mais, à la base, je voulais parler du concert. Notre premier concert. Je me suis shootée au doliprane toute la journée pour camoufler l'énorme crève que je me coltine depuis la veille au soir. Mon portable sonne. C'est Alice. Merde, je suis à la bourre. Je saute dans mes chaussures, fais le mur et cours comme une dératée. J'arrive à la dernière minute, essoufflée mais bel et bien présente, malade comme un chien, les yeux presque sortis de leur orbite, mais je suis là bordel. A fond la musique et advienne que pourra. Connor me prend dans ses bras dès que je pointe le bout de mon nez. il a eu peur que je les plante. Il est con, mais je l'adore. C'est mon meilleur ami après tout. Callum me passe ma guitare et on y va. Mes pieds foulent la petite scène et je sais alors que c'est ça et rien d'autre. C'est ce que je veux et je ferais tout pour que ça arrive.