† once upon a time

Jeune homme gay jusqu'au bout des ongles depuis longtemps pour ne pas dire toujours + Assume totalement son homosexualité depuis ses 17 ans + Est en adoration devant les animaux +  Possède quatre chiens ( Bellatrix, Orion, Cassiopée et Rigel ) et trois chats ( Mimosa, Sirius et Capella ) + Est fasciné par l'astronomie même s'il n'est pas très connaisseur sur ce sujet + Déteste les gens qui abandonnent leurs animaux sur le trottoir, c'est pour cela qu'il travaille dans un refuge pour animaux + Chante tout en travaillant, il possède une très jolie voix + S'habille de manière chic et jamais négligemment, ce qui pourrait être un des facteurs qui a fait craquer son voisin de palier que lui aussi apprécie fortement + Il est rare de le voir sans son sourire, ou alors, c'est que c'est vraiment important + Est fragile comme un pétale de rose qu'il faut conserver précieusement dans ses mains si on ne veut pas l'abîmer + Adepte des sucreries en tout genre + Végétarien + Non fumeur + N'est pas un fanatique du Soleil même s'il vit en Australie, car c'est pour sa faune et sa flore magnifique qu'il y habite + Est d'une nullité incomparable en bricolage et informatique + Un peu maladroit sur les bords + Croque la vie à pleines dents

Que pensez-vous de l'amour ? Jusqu'où seriez-vous prêt à aller ? L'amour, ça dégouline de bons sentiments. Regardez dans les contes par exemple, on fait croire à toutes les filles que le prince charmant existe et qu'elles auront toutes la chance de le trouver et de vivre heureuses jusqu'à la fin des temps. Et pour les garçons, on nous incite à être courageux et vaillant pour aller délivrer ces jolies demoiselles. Tout ça est bidon. Je suis un grand romantique voyez-vous mais pour moi, l'amour, c'est une alchimie pas besoin de cheval blanc ou de tour d'ivoire pour le connaitre ce sentiment. Jusqu'où serais-je prêt à aller ? Jusqu'au bout du monde s'il le fallait pour pouvoir être avec la personne que j'aime. Que vous évoque votre première histoire d'amour ? L'innocence. Nous étions deux jeunes garçons qui se croyaient amoureux, mais nous n'étions que des enfants qui rêvaient de vivre leur belle histoire d'amour. Au final, nous nous sommes séparés parce que ce n'était qu'une expérience dans notre vie. Comment imaginez-vous votre avenir amoureux ? Je ne l'imagine pas, je l'attends. Rien ne sert de construire des projets pour être finalement déçu. J'attends de trouver la bonne personne avant de me bercer d'illusions, même si parfois je me dis qu'elle n'est peut-être pas si loin de moi cette personne, voire à deux pas de ma porte. Si vous devriez choisir entre l'amour et l'argent que feriez-vous ? L'amour est éphémère, l'argent est matériel. L'argent nous permet de survivre mais nous pousse dans de sombres contrées. L'amour quant à lui nous permet de vivre et de rêver aux côtés de la personne aimé. Entre vivre et survivre, je préfère vivre.

pseudo/prénom ? Pamplemousse âge : 16 ans pays : France tu es ? Un scénario né de l'imagination de quelqu'un d'autre. comment as tu découvert le forum ? Par succession de mauvaises manipulations (on est douée ou on ne l'est pas hein !) t'en penses quoi ? Il a l'air cool. En tout cas, j'ai hâte de le découvrir plus en détail. fréquence de connexion ? Le plus possible ! quelque chose à rajouter ? ... Je vous fais des bisous ?

Code:

<taken>Chris Colfer</taken> <pseudo>Aiden Smith</pseudo>

Cher moi du futur,
Je t'envoie cette lettre pour que tu te souviennes de qui tu étais, comment tu en étais arrivé là et... tu ne dois pas oublier ton passé, sous aucun prétexte.
Je vais commencer par te rafraîchir la mémoire. Tu es né à Canterbury, en Angleterre. Ta maman qui était française avait décidé d'y rester auprès de ton père lorsqu'elle s'y rendit lors d'un voyage touristique et qu'elle en tomba follement amoureuse. Tes parents t'ont nommé Aiden, un prénom aux sonorités douces pour un garçon tout aussi doux. Tu héritas bien sûr du nom de famille de ton papa : Smith.
Le petit maigrichon que tu étais communiquait sa joie de vivre avec son rire aux sons mélodieux et envoûtants. Tu étais d'un naturel calme et attentif aux merveilles du monde qui émerveillaient tes grands yeux toujours ouverts. Et puis...Très tôt tu as découvert que les filles ne t'intéressaient pas, et pas seulement parce que ce n'était pas de ton âge mais parce que tu aimais les garçons. Tes parents ont accepté ce fait, car ils étaient très compréhensifs et qu'ils voulaient ton bonheur. Ils t'ont donné tout l'amour et l'affection dont tu avais besoin tout en te protégeant ; parce qu'il y avait des personnes qui te voulaient du mal, qui disaient que tu n'avais pas le droit de vivre parce que tu étais gay. Durant une partie de ton enfance et adolescence qui succédait tes sept ans, tu t'es renfermé sur toi, la solitude était ta protection et ta fragilité n'était plus à prouver. On aurait dit une poupée en porcelaine. Tu avais peur, peur de ce qui pourrait t'arriver, peur de l'avenir, peur de ne jamais être aimé...
A l'aube de tes 15 ans, tu as réussi à te relever parce que tu étais fort et que tu croyais en cet amour qui existait. « Pourquoi les autres, pourquoi pas toi ? » Te répétais-tu inlassablement. Tu as fini par t'en convaincre. Seulement, pour trouver la personne qui partagerait cet amour avec toi, il fallait que tu t'ouvres, comme une fleur qui découvre ses pétales sous le soleil. Mais en attendant, il fallait que tu trouves comment offrir ce surplus de tendresse qui t'animais. Tu as finalement découvert que les animaux étaient tes amis, qu'ils avaient besoin de toi tandis que tu avais besoin d'eux. Tu as eu ton premier chien rien qu'à toi à l'âge de 17 ans : Il se nommait Socrate. Te souviens-tu de son arrivée ? Tu étais tranquillement assis dans l'herbe et tu ramassais des feuilles pour en faire un joli tas, tu avais toujours aimé faire cela en automne même une fois que tu avais grandi, ta candeur me fascine encore d'ailleurs. Tu fredonnais l'air de Imagine de John Lennon tout en faisant abstraction du monde qui t'entourais. Quand tu t'es retourné pour compléter ta montagne de feuilles, tu remarquas qu'elle était plus bombée et... qu'elle bougeait. Tu t'approchas lentement, intrigué et avant d'avoir pu l'atteindre, une boule de poils te sauta dessus. Riant aux éclats après avoir été effrayé, tu te mis à jouer avec le petit chiot. Tu fis les yeux doux à tes parents pour que tu puisses le garder et victoire ! Tu es devenu son meilleur ami et lui le tien. Grâce à lui, tu as réussi à sourire et même à rire, chose que tu n'avais pas fait depuis tes sept ans. Ce sourire qui te caractérisait et qui ne te quittait plus depuis ce jour, j'espère que tu le gardes toujours précieusement. D'adolescent solitaire tu t'étais transformé en jeune homme jovial. Tu n'as pas eu de nombreuses aventures amoureuses puisque peu de gens dans ton entourage assumait le fait d'être homosexuel. C'était mal vue. Mais toi tu ne pouvais pas rester cacher, ça te faisait trop de mal, alors tu es parti suite à l'incitation de tes parents qui te disaient de vivre ta vie et d'être heureux. Evidemment, tu leur envoyais des lettres, leur téléphonais et leur rendais visite à diverses occasions. Ils étaient tout pour toi. D'ailleurs, le jour où je t'ai écrit cette lettre, j'avais reçu le matin même une carte d'eux provenant du Canada. En grands voyageurs, ils aimaient te faire découvrir de nouveaux endroits même si tu ne pouvais pas les accompagner. Toi même tu as parcouru plusieurs contrées comme la France pays natale de ta mère, l'Italie ou encore la Russie avant de t'établir à Gold Coast en Australie. C'était l'endroit que tu avais le plus apprécié et même si tu savais qu'il pouvait en exister des bien mieux, tu voulais rester là-bas. C'était ton foyer maintenant. Tu avais trouvé un job et recueillit d'autres animaux qui méritaient toute ton attention. Car en effet, même après le décès douloureux de Socrate, tu continuais d'affectionner tout ce petit monde animalier. Cette passion, tu voulais la partager et tu sautas sur l'occasion quand un nouveau voisin fit son apparition. Il s'appelait Phoenix. Il était beau, vraiment beau, mais ce n'était qu'une simple observation. Quand un jour tu lui as demandé de prendre en charge la petite Cléo, ce chaton tout mignon et qu'il ne te le refusa pas, ce fut une explosion de joie en toi, car lorsqu'il t'avait affirmer qu'il aimait les animaux sur le palier, tu ne l'avais pas entièrement cru, c'était trop beau pour être vrai. Mais dès lors, tu fus enchanté, tu voulais apprendre à le connaître. Même qu'il soit simplement ton ami parce que tu ne savais pas s'il t'apprécierait comme toi tu pourrais l'apprécier. Et tu avais de nouveau peur. Peur d'être rejeté.
Quoiqu'il soit arrivé Aiden, que tu ais été repoussé ou aimé, n'oublie pas qui tu as été.