NOM :  Weisz. C'est aussi simple que ça. Un nom cours, et facile à retenir. On ne prononce pas le "z" par contre. Donc ne me sortez pas une prononciation ridicule. PRÉNOM(S) : Alane. En fait, mes parents voulaient un prénom original et un peu mixte. Ils adoraient le prénom Alan, et ils ont dit que si c'était un garçon, ils l'auraient appelé comme ça, seulement voila, c'est une fille qu'ils ont eu. Et donc, il à juste fallu rajouter le "e" à la fin. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je suis née un jour d'hivers, le 14 Décembre 1984 plus exactement. Oui, pas si loin de Noël quand on y pense, à Sydney, dans la célèbre ville Australienne! ÂGE : Je vais donc fêter mes vingt neuf bougies dans quelques semaines, trois si je ne me trompe pas. ORIGINES : Australienne. STATUT CIVIL : fiancée. ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuelle, j'aime tellement les hommes que je ne pourrais jamais m'en passer, ça, c'est clair. PROFESSION/ETUDES : Scientifique. J'adore mon laboratoire. AVATAR : Billie Piper

✝ que penses-tu du coup de foudre ? Le coup de foudre? J'y crois pas en fait. Disons que l'amour existe, évidemment, mais le soucis des coups de foudre, c'est que c'est jamais fiable. Ouais après tout, si jamais on a le "coup de foudre pour quelqu'un" alors sois la personne en question est déjà en couple, sois elle est gay, sois elle n'est pas intéressé, sois, elle est inaccessible, ce qui fait, une chance sur cinq que ça soit réciproque. Ça sert plus à faire souffrir qu'autre chose. Puis sincèrement, comment tomber amoureux d'une personne que l'on connait pas? C'est impossible, littéralement! J'y ai cru, quand j'étais petite, mes ce genre de chose c'est dans les contes de fées, et on est plus des gamins, c'est pas pour nous. Arrêtons d'être naïf, le coup de foudre, c'est nul. ✝ es-tu déjà tombé amoureux au point de devenir fou ?J'ai été amoureuse une fois, c'était au lycée. Y avait cet étudiant, un artiste. Un fanatique de Rock, qui m'a fait découvrir les années 70 et grâce à qui je dois cette folie soudaine. J'avoue avoir été folle amoureuse, c'était mon premier petit ami sérieux, une histoire qui dura un an environ. J'étais en première année, lui, il était en dernière année de lycée. Et en tant qu'adolescente innocente et insouciante, j'étais encore dans ma période "love story" avec les fins heureuses. Et bien, j'me suis enfoncé le doigt dans l'oeil jusqu'au coup!  ✝ est-ce qu'on t'a déjà brisé le coeur au point de ne pas pouvoir t'en remettre ? Cette relation justement. J'étais tellement dans mon petit monde que j'ai pas réaliser et j'ai pas anticipé une éventuelle rupture. Et quand c'est arrivé, j'ai été détruite. Mais je me suis reconstruite, doucement. Et grâce à la science évidemment, les passions aident toujours les personnes blessés à se reconstruire, c'est pour ça qu'on en a plus besoin qu'on ne veut vraiment le reconnaitre. ✝ quelle est ta définition de l'amour ? « Quand l'amour va au plus offrant, il n'y a pas de confiance, et sans confiance, il n'y a pas d'amour.»  dixit l'argentin du célèbre Moulin Rouge. C'est véridique. Un couple est avant tout basé sur la confiance. Un couple doit être capable de parler de leur problème de manière simple et calme. C'est de cette manière qu'un couple peut réellement marché, en faisant régner la sincérité avant tous.

PSEUDO/PRENOM : Masha, ou Keels. AGE : 18 ans. PAYS : France. ES-TU UN SCENARIO ? Non! FRÉQUENCE DE CONNEXION : Tous les jours, où au moins 5/7 au max! COMMENT AS-TU TROUVÉ LE FORUM ? Si je suis toujours dessus, c'est qu'il est génial ;) QU'EN PENSES-TU ? Comme je l'ai dis précédemment, il est génial! UN PETIT MOT POUR LA FIN : PAPUUUUUUUUUUUUCHE.

① « Si vous vous servez de ça, je vous fais un énorme bisous sur la bouche! Et ensuite, je vous botte le derrière! »

Hivers 1984, deux semaines avant Noël, bon, une dizaine de jours en fait. Marilyn Weisz, vingt sept ans, donna naissance à une gamine. Cette gamine, Monsieur et Madame l'aimaient tellement depuis l'instant où elle n'était encore qu'un embryons dans l'utérus de sa mère, sauf qu'ils pensaient pas que cette gamine leur causerait plus de problème qu'ils ne l'imaginaient. Rien qu'au début d'ailleurs, mais ça c'est tout les bébés. Cette gamine, elle était chiante. Elle finissait pas ses nuits, elle chiait dans ses couches comme n'importe quel trucs à quatre membres de six mois, elle passait son temps à dormir et à boire du lait. Mais ses parents l'aimaient plus que tous, puis en plus, avec ses grands yeux, ses joues toutes ronde et ses sourires démunis de dents, comment lui en vouloir? Cette gamine était un véritable petit ange, tout en étant Satan. En fait, c'était une gamine comme une autre, mais ses parents pensaient pas que ça empirerait avec le temps. Que ce môme brailleur qui voulait ses parents pour elle toute seule deviendrait l'adolescente rebelle, romantique, pour finalement finir en savant fou. Cette gamine, c'est moi. Bonjour, je suis Alane Weisz, et je suis sûre que vous me supportez déjà plus.

② « J'avais l'habitude d'être ivre d'amour, maintenant, j'ai la gueule de bois.»

« Madame Weisz? » « Oui? » « C'est confirmé. » Tournant la tête vers la petite blonde assise sur une des chaises en plastique, la mère haussa un sourcil, avant de regarder de nouveau l'homme en blouse blanche qui venait de sortir. « Pouvez vous être plus explicite? » Sortant alors les feuilles qui détenaient les résultats des tests, la grande blonde se mit à les regarder sans vraiment savoir ce que signifiait tous ces chiffres. « Votre fille à réussi les tests haut la main! Rare sont les enfants de son âge qui réussissent aussi bien. Seulement six ans, et déjà tant de connaissance. Votre fille à un don Madame Weisz, sachez le. Vous devez lui permettre de l'exploiter, de manière à ce qu'elle n'ai aucun handicap scolaire. » « J'ai du mal à y croire...» Relevant la tête vers le médecin, elle regardait l'homme d'une vingtaine d'année de plus qu'elle au moins, incrédule. « Votre fille possède bien un Quotient Intellectuel largement supérieur à la moyenne. Comme je vous dis, faite attention, il ne faut surtout pas la déstabiliser. » « Ne vous en faites pas, nous serons vigilant. Nous l'aimons tellement. Nous ne voulons que son bien. Nous ferons en sorte qu'elle soit le plus épanouis possible. » « Si vous avez le moindre soucis, n'hésitez pas à me contacter, je me ferais une joie de vous aider. » « Merci beaucoup Docteur.» « Tous le plaisir est pour moi Madame. » Serrant la main de la jeune femme, le Médecin retourna dans son bureau. Finalement, la grande blonde se retourna vers sa fille qui la regardait sans vraiment savoir de quoi parlait sa maman avec le vieux monsieur tous moche. Marilyn Weisz fit un sourire à Alane, s'avançant vers elle pour finalement la prendre dans ses bras et embrasser sa joue. « Pour avoir été patiente, tu es d'accord pour qu'on aille manger une glace? » « oh oui! » Renchérît la petite blonde dans les bras de sa maman. Sourire satisfait sur les lèvres, Madame Weisz commença à marcher en direction de la sortie de l'hôpital tout en pensant à une chose. Alors comme ça, la fille qu'elle avait pondu était surdouée.



③« Et bien, tu sexy et je craque pour toi. »

Un short et un débardeur. Tenue bien simpliste, mais pourtant bien agréable. Actuellement, Alane était seule chez elle. Musique à fond, elle se contentait de faire à manger comme sa mère lui avait demandé. La petite adolescente rendait souvent service à ses parents, pour elle, c'était naturel, normal. Mettant enfin le plat de Lasagne dans le four, elle continuait de bouger sur le rythme de la musique qui raisonnait dans toute la grande villa. Lorsque le refrain retentit la blonde se lâcha littéralement, dansant comme une folle dans sa cuisine. Montant même sur la table, se pensant en boite de nuit probablement. « You are Hot mess, and I'm falling for you! I'm like Hot Damn, let me make you my boo. Cause you can shake it, shake it, shake it, yeah you know what to do! » Un petit déhanché par là, puis un par-ci. Un head bang rapide, puis les paroles reprennent. Elle avait littéralement l'impression d'être en soirée, s'amusant comme une idiote. C'était Alane. Toujours à faire des trucs pas net. Au bout de plusieurs minutes, elle entendit des rires raisonner, ce qui ramena immédiatement la blonde à la réalité. Se foutant droite, elle vit alors ses parents, qui regardaient la petite blonde avec de grands yeux. Oh my god, c'était la honte. Sentant le rouge lui monter aux joues, Alane descendit de la table, sous les rires de ses parents. « Tu t'amusais bien à ce qu'on voit! » Rougissant encore plus, elle se contenta simplement de dire que le plat était dans le four en train de cuir. Finalement, elle partie s'enfermer dans sa chambre à double tours, finissant par se laisser tomber sur son lit, rouge de honte. Passant ses mains sur son visage, elle se dit que si elle pouvait mourir maintenant, elle le ferait. Oui, Alane était la pro pour se foutre dans des situations totalement déplacé, et se rendre ridicule. C'était Alane quoi!


④ « La chimie entre les menteurs comme toi et moi s'enflamment comme le gazoline. »

Assise sur le lit de sa chambre, la petite blonde était recroquevillé sur elle même. Tandis que les larmes dévalaient ses joues, quelqu'un tapait à sa porte. S'essuyant les larmes, elle redressa la tête, même si son maquillage trahissait son faux sourire dessiné sur ses lèvres. Tandis que la porte s'ouvrit, elle vit la silhouette de sa mère. « Ça va? » « Pas trop. » Marilyn s'assit alors sur le lit, à côté de sa fille, et passa son bras autour de sa fille, qui elle, posa sa tête sur l'épaule de sa mère. « Première déception amoureuse. T'en fais pas, ça te passera. » « Tu crois? » Elle tourna le regard vers elle, toujours ses yeux rougis par les larmes. « Je ... tu crois? » « Évidemment. Tu es belle, tu es intelligente. Tu n'as aucun reproche à te faire. Tu t'en remettra. On s'en remet toujours. » Elle embrassa son front, avant que Alane se sépara simplement de sa mère. « J'vais me changer les idées. » « Tu comptes faire quoi? » « Je sais pas ... des maths probablement. Ou je vais regarder un film, écouter de la musique, je sais pas. » « Je vais te laisser. Si tu as besoin de quelque chose, n'hésites pas. » « Merci maman. » La grande blonde se leva, laissant alors sa fille seule.

J'étais jeune à cette époque. Je croyais encore aux contes de fées. Mais en fait, à partir de ce moment, j'me suis promise de faire passer ce genre de chose en second plan. Priorité à mes études, et à tous ces trucs futiles. Ouais, enfin, j'me comprend quoi.



⑤ « Tu clames haut et fort ta réussite car tu veux la gloire et le courage. »

Tandis que les parents buvaient un apéritif tranquillement, une explosion retenti dans la villa. Madame Weisz lâcha son verre au sol, et Monsieur lui, se leva d'un coup. Tous les deux se précipitaient vers la chambre de leur fille, là où semblait provenir l'explosion. La porte était fermée à double tours. Marilyn savait que sa fille allait pas si bien que ça, depuis que son petit ami l'avait lâchement largué comme la pire des sous-merde sous terre. Et pourtant, elle semblait aller bien, du moins, elle essayait. Et vu qu'une explosion, où un bruit semblable à celui d'une détonation venait de retentir, les parents paniquaient, se demandant quelle genre de connerie venaient de faire leur fille. « Alane! Alane, ouvre moi cette porte! » Sa mère tapait comme une pauvre idiote à la porte, sentant les larmes lui monter aux yeux tandis que son père essayait d'ouvrir la poignées. Pourquoi personne ne répondait? S'était-elle? Non, c'était inimaginable. « Marilyn, pousse toi de là, j'vais défoncer la porte. » Marilyn mit sa main devant sa bouche, et s'écartait, tandis que Papa Weisz recula. Il prit son élan et fonça dans la porte. Porte qui s'ouvrit, ce qui fit qu'il tomba littéralement au sol de la chambre de sa fille. « Qu'est ce qui se passe? » Poussant quelques jurons, son père se releva tandis que sa mère s'avança dans sa chambre. Chambre qui était pleine de fumer d'ailleurs. « Oh, l'explosion? Trois fois rien, vous en faites pas!» Avançant doucement elle fit alors face à ses parents. Cheveux dans tous les sens, et quelques traces noires sur les joues, Alane avait un grand sourire. « Qu'est ce qui t'es arrivé? Qu'est ce que tu fabriques quand ta chambre au fait? » S'impatienta la mère. « J'ai juste voulu tester un truc que j'ai trouvé sur internet. Ça avait l'air pas mal, j'adore m'amuser avec les différents produits. Sauf que j'ai confondu soude et acide. Du coup, ça à exploser. Mais vous en faite pas, c'est arrangé! Tous va bien! Il suffit d'aérer, chose que j'ai fais, et il vaut mieux éviter d'entrer dans ma chambre pendant que la fumer s'en va. Je vais prendre une douche! » Déclara la blonde en quittant sa chambre. « Oh, et fermez la porte derrière vous! Faut pas que la fumer sorte! »


⑥ « C'était comme une bombe à retardement. »

« On cherche quoi au fait? » « Quelque chose de gros qui à du s'isoler dans le coin! Le genre de bidule énorme qui dégage pas mal de trucs toxique et dangereux pour l'homme, vous v'voyez ce que je veux dire? » « Basez vous sur l'invention d'Einstein! » « Laquelle? » La blonde fit de gros yeux, comme si c'était le pire des blasphèmes au monde. Elle s'apprêta à rétorquer jusqu'à ce que quelqu'un le fasse à sa place. « La bombe nucléaire! » « Merci bien! Soldat ...? » « Severide Madame. » « Oh, m'appelez pas madame, j'suis pas mariée. Et ça me vieillis, j'ai que vingt cinq ans! » La blondinette reprit sa route, tandis que l'appareil qu'elle tenait dans les mains faisaient des bruits bizarre. Tantôt aigu, tantôt grave. Parfois, c'était un véritable supplice pour les oreilles. « On approche! C'est par là! Oh, les ondes viennent de tellement de côté, c'est magique, magique vous m'entendez! » « Vous êtes sûre qu'elle va bien? » « Laissez là faire son boulot. » Tournant à droite, puis à gauche, tournant en rond, faisant des demi-tours sur elle même, la blonde ne savait plus où donner de la tête, faisant des commentaires qui paraissaient ridicule à chaque fois. Puis elle s'arrêta net, fronçant les sourcils et ne faisant plus un seul commentaire. Chose inhabituelle chez elle. « Tous va bien Mademoiselle? » « Le taux de radioactivité est particulièrement élevé. Largement au dessus de la moyenne mais... pas assez pour que l'on soit irradiés. Enfin, seulement d'ici. D'après mes calculs, si nous nous approchons encore, on risque de l'être, et on peut dire adieu à nos familles.» « Et qu'est ce que l'on peut faire? » « Attendre.» « Mais Mademoiselle, les radiations mettront des centaines d'années avant de disparaitre, nous ne pouvons pas attendre! »  « Vous préférez mourir irradié peut-être? Ou vous retrouvez avec un troisième membre? Je voulais dire attendre que des personnes habillés pour débarque afin de déplacer l'objet! Contactez votre base, dites leur qu'on a besoin de personnes qualifiés, des techniciens, capable de manipuler cette chose avec la plus grande précaution. Une surcharge, un poids en trop, et ça pourrait exploser. Alors, demandez des personnes délicates et compétente! Dites leur qu'on à affaire à quelque chose avec un fort taux de radiation, et qu'il faut se protéger une fois à la source. On sait pas à quoi on a affaire, alors autant y aller doucement. »



⑦ « Ce qui me tue, c'est que ça te tue aussi.»

« Ne me touche pas! » « Alane! Alane, revient ici! » La mère saisit le bras de sa fille, tandis qu'elle le dégageait en se retournant, manquant même de donner une gifle à sa mère. « Comment tu as pu me faire ça? Je croyais que vous m'aimiez! » « C'est justement parce qu'on t'aime chérie! » « Pardon? Comment pouvez vous prétendre m'aimer alors que vous me faites ça? » « Écoute, c'est pour ton bien...» « Mon bien? Tout ce que vous voulez, c'est faire durer l'héritage. Et puisque je suis pas capable de me trouver un mec qui se foutra pas de ma gueule, vous me faites ça car vous avez peur que j'finisse seule. Merci, ça fait plaisir de voir à quel point vous avez confiance en moi. » La mère resta interdite face aux paroles de sa fille. Elle n'avait pas totalement tord, du moins, c'était surtout pour faire survivre l'héritage familial. Voyant qu'elle ne répondait pas, Alane finie par monter les marches de la maison pour s'enfermer dans la chambre.

Voila comment ma vie prit un tout autre tournant. Mais je dois avouer qu'aujourd'hui, je suis pas trop à plaindre!



⑧ « Faisons péter le champagne! »

« Alane! Dépêche toi! Ils sont là! » « Oui, deux secondes! » C'est sans aucune motivation que la blondinette terminait de se préparer. Mettant son rouge à lèvre et montant sur ses talons de dix centimètres, la petite blonde -teinte en brune pour l'occasion- se mit à dévaler les marches de la villa. Une fois dans le couloir, elle soupira, ne voulant pas rencontrer la famille et encore moins, son futur époux, par obligation évidemment. Ce soir, c'était un diné à l'extérieur, dans un des restaurant les plus chics de Gold Coast. Sa mère déclarait enfin que sa fille arrivait -et manqua de faire une crise cardiaque en voyant la nouvelle couleur de sa fille- puis elle présenta sa fille. Tandis qu'Alane levait le regard vers les invités, son visage se décomposa pour finalement laisser place à un sourire, chose qui était un peu le cas de son interlocuteur. « Oh my god ... est-ce c'est ...? » « Mademoiselle Weisz? Je veux dire ... Alane Weisz? » « Soldat Severide! » « Appelez moi Lucas! » « Seulement si tu me tutoies. » « Très bien! » Les parents regardaient la scène avec de gros yeux, et la mère d'Alane enchaîna. « Vous ... vous connaissez? » « On a travaillé ensemble y a des années, on était sur un projet d'une arme qui avait été retrouvé. T'as changé de couleur? » « Oui! Et il faut avouer qu'on avait bien rigolé. Observateur! T'en penses quoi? » « Ouais, c'est des bons souvenirs. J'aime bien, ça te va bien. » « Mais attendez une minute ... C'est lui que je dois épouser? Oh, et merci au fait! » « Tu dis ça comme si c'était une contrainte. Mais de rien très chère. » « Mais s'en est une voyons! » Alane le regarda en levant les pouces et faisant un clin d'oeil. Elle se mit ensuite à tourner autour de lui pour finalement s'arrêter derrière et réfléchir quelques secondes. « Qu'est ce que tu ...? » « Te retournes pas! Hum ... La vue est plutôt pas mal, je dois l'avouer. J'aurais pu tomber sur pire. » « De quelle vue tu parles? » Avançant d'un pas pour se mettre côte à côte de l'invité, elle colla -littéralement et sans aucune gène sa main contre les fesses de son partenaire- « Et au touché c'est pas si mal. Je dois avouer que j'suis plutôt chanceuse sur ce coup. » Elle eu un sourire satisfait, et c'est à ce moment là qu'un sourire naquit sur les lèvres de Lucas pour qu'il vienne finalement plaquer la main sur la poitrine de sa voisine. « Je dois avouer que c'est plutôt satisfaisant aussi. Ils ont l'air à la même taille et bien droit. J'pense qu'on va bien s'entendre. » La blondinette se mit à rire, et c'est la que Madame Weisz intervint. Encore. « Arrêtez vos enfantillages! Vous n'êtes plus des gamins de 16 ans. » « Oui m'dame! » Déclarait Lucas avant de faire le fameux salut militaire, tandis qu'Alane restait debout, les lèvres pincées et se retenant de rire. Les deux couples avancèrent alors vers la sortie de la villa, tandis que les deux jeunes gens tournèrent leur regard simultanément vers l'autre, et ils pouffèrent légèrement avant de rattraper rapidement les deux couples de parents.



⑨ « Et les miroirs vont tomber ce soir.»

« Alane! Tu veux bien lâcher ce téléphone cinq minutes? » « Non! Si Lily m'appelle, je dois pouvoir répondre immédiatement! » « Ce n'est que secondaire! On s'en fou de ton assistante. » « Tu peux pas dire ça! Tu te rends pas compte, c'est super important! » « Plus important que ta robe? » « Oui! ça m'étonne que tu poses la question! » « Oh, arrête un peu, et concentre toi là dessus. » La grande blonde s'emparait du téléphone de sa fille et le mis dans son sac. C'est alors que le téléphone sonna. Alane se jeta sur sa mère, sous les protestations de la vendeuse, et elle attrapa finalement son téléphone, sortant de la boutique pour décrocher. Parlant pendant de longues secondes avec son assistante, elle fini par être dérangé par le vigile... Disons que Alane était sortie avec la robe qu'elle portait qui n'était pas payé et qui n'allait probablement pas être prise -elle se sentait boudiné dedans, oh mon dieu!- et voila comment Alane se retrouva en sac à patate sur les épaules du Vigile en lui demandant de la reposer au sol. Oui, si il y a bien une personne qui ne prenait pas au sérieux son futur mariage, c'était bien Alane.